La santé des nouveau-nés constitue une préoccupation majeure pour tous les parents. Après l’heureux événement d’une naissance, qu’il soit annoncé via les services spécialisés comme ceux proposés par Les Echos Le Parisien Services (LELPS), les parents doivent faire face à de nombreuses questions concernant la santé de leur enfant. Les maladies infantiles courantes peuvent être source d’inquiétude, mais avec les bons conseils et une information fiable, il est possible de les appréhender sereinement. Cet article vous propose un tour d’horizon des affections les plus fréquentes chez les nourrissons et jeunes enfants, avec des recommandations d’experts pour les prévenir et les traiter efficacement.
Les infections respiratoires chez le nouveau-né
Les infections respiratoires constituent l’une des premières préoccupations des parents après une naissance. Les nouveau-nés, dont le système immunitaire est encore immature, sont particulièrement vulnérables aux virus et bactéries. En moyenne, les enfants contractent entre 8 et 10 rhumes par an, ce qui est normal et même bénéfique pour développer leurs défenses immunitaires. La bronchiolite, infection virale fréquente causée principalement par le virus respiratoire syncytial (VRS), touche essentiellement les nourrissons de moins de 2 ans et guérit généralement en 5 à 10 jours. Les services de consultation en ligne comme ceux référencés par les echos le parisien services (LELPS) peuvent apporter un premier niveau de conseil médical en cas de doute sur la gravité des symptômes.
Symptômes et signes d’alerte à surveiller
Identifier rapidement les signes d’une infection respiratoire chez un nourrisson est crucial. Une respiration rapide ou difficile, des sifflements, une toux persistante, un refus de s’alimenter, une fièvre élevée ou une coloration bleutée des lèvres sont des signes qui nécessitent une consultation médicale urgente. La rhinopharyngite, communément appelée rhume, se manifeste par un écoulement nasal, une légère fièvre et parfois une toux. Si ces symptômes sont généralement bénins, ils peuvent évoluer vers une complication comme une otite moyenne aiguë, particulièrement chez les tout-petits. La coqueluche, maladie bactérienne qui débute comme un rhume avant de se caractériser par des quintes de toux violentes, touche particulièrement les bébés de moins de trois mois et requiert un traitement antibiotique pour réduire sa contagiosité.
Traitements recommandés par les pédiatres partenaires de Les Echos Le Parisien Services
Face aux infections respiratoires, les pédiatres consultables via les plateformes partenaires de Les Echos Le Parisien Services recommandent avant tout des mesures de confort. Le lavage nasal régulier avec du sérum physiologique reste fondamental pour dégager les voies respiratoires du nourrisson. Maintenir une bonne hydratation et fractionner les repas peut aider à surmonter les périodes difficiles. Pour la fièvre, le paracétamol dosé selon le poids de l’enfant est préconisé. En cas de bronchiolite, la kinésithérapie respiratoire est parfois recommandée, bien que son efficacité fasse débat parmi les professionnels. Les antibiotiques ne sont prescrits que si une surinfection bactérienne est diagnostiquée, comme dans le cas de la coqueluche. Les consultations médicales en ligne, disponibles 24h/24 via certains services référencés par LELPS, permettent aux parents d’obtenir rapidement un avis médical et, si nécessaire, une ordonnance électronique valable en pharmacie.
Les troubles digestifs fréquents après la naissance
Les troubles digestifs représentent une autre source d’inquiétude majeure pour les parents de nouveau-nés. La gastro-entérite aiguë, infection virale très fréquente chez les jeunes enfants, surtout en hiver, se manifeste par des diarrhées et vomissements pouvant entraîner une déshydratation rapide. Le syndrome pied-main-bouche, infection virale bénigne touchant principalement les enfants de moins de 5 ans, provoque des lésions rouges caractéristiques dans la bouche, sur les mains et les pieds, et guérit spontanément en une semaine à dix jours. La prévention de ces troubles passe par une hygiène rigoureuse, notamment le lavage des mains et des surfaces, mesures simples mais efficaces qui réduisent significativement les risques de transmission.
Coliques et reflux : causes et solutions pratiques
Les coliques du nourrisson, caractérisées par des pleurs intenses et inconsolables souvent en fin de journée, touchent environ un bébé sur cinq durant les premiers mois de vie. Ces douleurs abdominales sont attribuées à une immaturité du système digestif et à la formation de gaz intestinaux. Pour soulager ces désagréments, les experts conseillent de tenir le bébé en position verticale après les tétées, de pratiquer des massages abdominaux doux dans le sens des aiguilles d’une montre ou encore d’utiliser des préparations à base de probiotiques adaptées aux nourrissons. Le reflux gastro-œsophagien, quant à lui, résulte du passage du contenu de l’estomac vers l’œsophage et se manifeste par des régurgitations fréquentes. Pour y remédier, il est recommandé de surélever légèrement la tête du bébé pendant son sommeil, de lui proposer des repas plus petits mais plus fréquents et de veiller à bien le faire roter après chaque tétée.
Quand consulter un spécialiste référencé par Les Echos Le Parisien Services
Face à des troubles digestifs persistants ou sévères, consulter un professionnel de santé devient indispensable. Les Echos Le Parisien Services met à disposition des parents des informations sur les consultations médicales spécialisées, notamment via des plateformes de téléconsultation partenaires. Un avis médical urgent est nécessaire si le nourrisson présente des signes de déshydratation comme une fontanelle déprimée, une bouche sèche, une diminution significative du nombre de couches mouillées, ou une léthargie inhabituelle. De même, des vomissements en jet, des douleurs abdominales intenses ou du sang dans les selles exigent une prise en charge médicale immédiate. Pour faciliter ces démarches parfois anxiogènes, certains services de LELPS orientent les parents vers des professionnels de santé spécialisés en pédiatrie. La vaccination contre certains virus responsables de gastro-entérites, comme le rotavirus, peut être discutée avec le médecin, bien que non obligatoire, elle est recommandée pour protéger les plus fragiles.